J'expose une nouvelle que j'avais écrite il y a quelque temps, jaimerais beaucoup lui donné une suite la développé et engendrer un univers cohérant et l'imager.
Les élèments qui l'animent sont grandement inspiré d'élément antique mélé a divers thémes théologique.Un cauchemar éveillé ou toute les lois de la la science et de la conscience sont gommé.(
) Je ne suis pas fous j'ai juste pas mal d'imaginations.
""
Des colonne antique jonchaient le sols crasseux de cette lugubre place oppressantes. Quelque piliers se maintenaient stoïque ,indifférents. D' austères statues le dévisageaient posté aux quatre coins du lieux. On eu reconnus quelque gargouille et autre immondice des enfers de Dantes.
De la voûte céleste, les dieux s' égayaient de voir encore une autre âme perdu déambulé sans raisons dans les profondeur du néants.
Les être divins sont des créatures ignoble, devenu immortel, elles passent leur temps a manipulé les personnes dans la seul finalité de se divertir. Elles raillaient à gorge déployer des pauvres malheureux.
Le misérable, prostrée, appelait son dieu. Il lui avait voué un culte sans nom depuis sa plus tendre enfance. Durant toute sa vie, il accomplit de nombreux sacrifice pour s' attirer les bonnes faveurs de la divine providence.
Mais les religions sont d' authentique fourberie. Un jeux maléfique ou les hommes ne peuvent se dispenser de cette source d'espoir. Devenus la raison d' être pour de nombreux individus fanatique. Ils accomplissent sans réfléchir divers actions licencieuses pour épancher l'avide soif de ces monstres .
Une alliance, perfide et malsaine est naît entre l'humain, masochiste ,réclamant avec toujours plus de hargne, de l'injustice et de la violence, et les démiurges obsédaient par le vice délétaire de la perversion .
Les plus grand plaisirs, de ces bête hideuses, sont les guerres , les maladies, et catastrophes climatiques ,qui leur procurent, assurément, une source de jouissance infinis. Ainsi le sang noircis se mêlent à la terre, dans une unions de l'immorale nature .
L'homme, désespéré, eu la vision de son dieu, fourniquant avec sa femme décédé de la lèpre.
Image troublante et incompréhensible d'un délire incontestablement pervers.
Soudain une voix solennelle se fait entendre
" mon fils, prend moi la main, je te conduis au paradis"
Le pauvre homme, encore tout retourné, aquiésa ,sans sourciller,et pris la main tendu de l'innommable pour s'évanouit dans les ténèbres de la grande sorgue ou milles autre supplices torturant l'attende . ""
J'attends vos avis et remarques ,qui sont toujours bien venus merci