Je n'ai mis que la moitié du premier chapitre, car avant de mettre la suite je voudrais corriger les fautes que j'ai faites dans le premier chapitre bon eh bien voilà d'abord la première partie bonne lecture et dite moi ce que vous en pensez!
Dans un monde où prospérait le calme est la sérénité ou chaque habitant vivait en parfaite harmonie avec eux-même, mais qui malheureusement négliger la vie de leurs Manix, tout le monde sauf une personne. Une jeune fille qui se prénomme Ellena elle vivait seule dans le bois Augura depuis la mystérieuse disparition de sa famille quand elle était encore jeune, âgé de 15ans elle et d'une très grande beauté cet cheveu brun aussi brillant que les étoiles dans la nuit, rendait son visage très calme, c'est yeux couleur verte émeraude représenter l'espoir qu'elle avait au fond de son coeur, espérant retrouvé sa famille. Elle vivait avec son Manix un jeune loup ailé! Chaque personne avait son Manix, un être animal qui prenait l'une des 10 formes animal dont t'il gardé l'apparence toute sa vie, dont le loup, l'aigle, le singe, le lion, le cheval, le cerf, le lynx, le sanglier, l'hermine et le chien chaque manix corresponde à la personnalité de leur maître! Elle et vêtue d'un vêtement simple qu'elle-même avait fait, un haut sans manche accompagner d'une petite toge blanche sur le col satiné de doré, assortie d'un bas simple bas noir et des chaussures faite de cuir!
Ellena assise près de son Manix qu'elle prénomme Djeran, regardé le ciel bleu recouvrant le vaste monde, depuis plusieurs années elle n'eut plus de contact avec les autres humains, les considérant comme des inconscient ils forçaient leur être de travailler, aucun lien d'amitié n'était tissé aucun lien comme celui avec son être, le seul qui resta à son chevet depuis 10ans. Elle qui observait un peu plus chaque jour ces soit disant "créatures"! Désespéré de tristesse et de colère elle sautât de son tronc et se mit a marché dans des pensées de question immense soudain elle tribuchât dans un trou, Djeran survola d'un regard le lieu où elle tombât et ce mit à rire.
_Aide moi dit t-elle d'un ton agacé et persistant.
_Mais bien sûr dit t-il d'une douce voix retenant des petits rires
Il n'eut dit s'est mot qu'il lança une petite corde accrocher à son cou, qu'elle prit avec cet main et ce mit à grimper, elle sorti enfin tout éssouflé! Il la regardât d'un regard constant et simple, ils se mirent en route vers leurs lieux