Hallo...ça fait un bon bout de temps que j’ai écrit ça….depuis décembre. Cette idée me trotte dans la tête, mais j’ai essayer d’avoir des commentaires mais tout ce qu’on m’a dit c’est que les descriptions était vraiment bien T.T (et en plus c’est faux) et que j’allais pas bien pour écrire un truc du genre.
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Idées : Anaya vit parmi les rebelles depuis sa naissance. Le jour du mariage de sa sœur, Helinia, celle-ci ce fait enlever par la sorcière Ceniza qui a prit les commandes du royaume il y a 20 ans. Elle laisserait la vie sauve à sa sœur et tout les rebelles à une seule condition : qu’Anaya retrouve le prince disparu durant les 100 prochain jours. Accompagner de son meilleur ami, un mystérieux jeune homme rencontré en foret et une fée, Anaya va se lancer dans une aventure à travers le royaume pour retrouver le prince. En attendant, Fraye, le fiancé de Helinia se fait manipuler par Ceniza.
Euhhh…ça fait du genre cliché et commun comme histoire, na ????
Je trouve le premier chap’ un peu fade…et comparé à celui qui écrit dans le journal et les actions des persos…je trouve que ça colle pas trop ensemble. Je ne suis pas assez satisfaite avec le premier chapitre, que je trouve trop court (en 2000 mots…et j’aurais pu faire mieux).
Et puis mon vocab …. T.T
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Si vous voulez lire un bout :
Prologue12/07/1657
Ceci n’est certainement pas une histoire que vous apprécierez. Mais je dois vous conter l’histoire de ma bien-aimée, de ma Anaya…
Cette histoire se passe dans un monde autre que le vôtre. Un monde enchanté au delà de vos étoiles connues, où le voile du temps est différent. Vous, les humains, vous appelleriez ce monde – si je vous en fais maintenant la description- un monde imaginaire. Mais détrompez vous, ce monde existe bel et bien.
Bienvenu au royaume Cendres.
Le royaume ne portait pas autrefois le nom « Le royaume des Cendres ».Non, le nom du royaume était bien plus agréable, plus jovial, plus…magique. Mais personne ne s’en souvient plus.
Jadis avaient régné le roi Edward et sa reine. Pendant ce temps la paix et la justice existaient encore. La vie était paisible et agréable pour tous.
Mais un jour, une malédiction frappa le royaume. Sortit tout droit des entrailles de la terre, Ceniza,la sorcière du feu, déchaîna les dragons contre le peuple du roi Edward, relâcha les champignons vénéneux dans les prairies,appela les géants à la guerre contre le royaume, et créa son armée avec d’autres ignobles créatures.
A chacun de ces pas la terre s’empoisonnait, les plantes pourrissaient, les cours d’eau se transformaient en rivière de sang.
Et la guerre éclata, sans merci, sans pitié. L’armée de Ceniza écrasa tout sur son passage. Les soldats du roi furent tués, les femmes et les enfants enfermés dans les cachots du château que la sorcière avait capturé. Il n’y avait pas d’autre solution que de fuir.
Et en ce jour naquit le prince.
La bataille fut rude. La sorcière qui avait pris le château en assaut tua la reine. La guerre dura plusieurs semaines. Puis peu à peu, le royaume se rendit. Mais Ceniza avait perdu. Elle n’avait pas eu le roi.
Les années passèrent. La vie reprit au royaume, maintenant rebaptisé le Royaume des Cendres. La vie était très dure et pénible. C’était le royaume de la douleur, de l’anarchie et de l’injustice. Des camps de rebelles s’étaient formés un peu partout dans le royaume, et le soir les dragons les traquaient.
Quant à Edward, il avait disparu dans la nature. Lui et son fils. On ne devait plus jamais les revoir, ni même entendre parler d’eux.
Et voilà 20 ans avaient passé. La haine, ce sentiment destructeur dominait sur le royaume. La haine des villageois envers Ceniza, la haine de Ceniza envers les villageois…
Pourtant dans ce monde existait encore un peu d’amour. Un amour inattendu, inespéré, mon amour pour Anaya qui nous mènerait vers de telles aventures, qui emmènerait une nouvelle lueur d’espoir pour aller jusqu’au bout.
Voila ce que conte cette histoire :
C’était un jour plutôt triste et morne pour un mariage…
Chapitre 1
Anaya dansait au son des trompettes parmi la foule. C’était une mélodie douce, joyeuse et légère qui l’emportait. Ses beaux cheveux noirs bouclés et brillants suivaient chacun de ses mouvements. Ses lèvres rouges étaient étirées en un sourire sublime. Anaya était une très belle jeune fille avec petites joues roses et son visage en cœur. Elle faisait balancer le cœur de plus d’un.
CRAC ! Mais le problème c’est qu’Anaya n’avait rien de très gracieux. Quand la guerre avait éclaté, ses parents avaient été tués. Prises en charge par un vieux cordonnier et sa femme, Anaya et sa grande sœur grandirent parmi les rebelles. Ils étaient leur seule famille.
Cependant, elle avait tout de même décidé de porter une robe et de se démêler les cheveux pour le mariage de sa sœur, et venait tout juste de la déchirer en marchant dessus. En soupirant, elle releva ses dentelles et se dirigea vers la cave où se préparait sa sœur. Le mariage avait lieu dans la Vallée des Oranges magiques. L’endroit avait été choisi particulièrement car la Vallée était protégée par une chaîne de montagnes.
- J’ai déchiré ma robe Helinia! Annonça fièrement Anaya en entrant dans la cave.
Elle s’avança prudemment vers une lumière allumée. Cette cave avait toujours été toute noire. Puis elle vit sa sœur. Elle était vêtue d’une robe de mariée classique. C’était la robe de leur mère qui avait disparu. Ses cheveux retombaient en cascades jusqu’au bas de son dos et une couronne de fleurs avaient été posée délicatement sur sa tête. Elle était assise, observant son reflet dans le miroir.
Helinia soupira. Tout comme sa sœur, elle avait de longs cheveux noirs qu’elle nattait d’habitude. Elle avait un visage plutôt rond et des traits fins. Elle avait aussi les mêmes yeux de biche comme Anaya. Tout le monde l’aimait. En partie à cause de son humour et aussi à cause de sa ‘sagesse’, comme le disait toujours Jaïk.
Helinia avait pris soin d’Anaya quand celle-ci n’avait que dix ans. A cet age, son père et sa mère avaient tout deux disparus. La vie avait été dure à cette époque.
-Tu es vraiment impossible Anaya ! Les aiguilles sont dans le tiroir.
-Merci, comment vas-tu ?
Anaya savait que sa sœur attendait ce jour depuis très longtemps. S’il arrivait quoi que ce soit, elle s’effondrait. Elle avait été tellement impatiente de pouvoir enfin s’unir à celui qu’elle aime.
Sa petite sœur était par contre moins contente. Frayne, son futur beau-frère était un des rebelles. Il avait des cheveux blonds, sales la plupart du temps de ses combats, des yeux chocolat pétillants et un incroyable sourire charmeur. Et Anaya se demandait encore pourquoi tout le monde le trouvait aussi beau.
-Alors qu’en penses-tu ? demanda Helinia.
-Quoi ? répondit assez brusquement Anaya.
-Anya ! Combien de fois dois-je te le répéter, tu es une fille, pas une rebelle !
-Et justement c’est la meilleure rebelle du Royaume !
Jaïk fit son apparition, un sourire béat aux lèvres, ces cheveux châtain clair ébouriffés, ses yeux verts étincelant. Toujours là quand on ne s’y attendait jamais, « Jaïk l’idiot intrépide »- comme le disait toujours Anaya- était très certainement le rebelle le plus extraverti, bagarreur, et amusant de tout le royaume. La présence de Jaïk était toujours tout aussi plaisante qu’ennuyante. Jaïk avait un sens d’humour bien à lui, mais personne ne comprenait jamais ce qu’il voulait dire. Jaïk était un rebelle amical et il était difficile, voir presque impossible, de ne pas l’aimer- même si il s’était fait quelques ennemies dans le royaume.
Helinia laissa échapper un soupir.
-Toi aussi tu es impossible Jaïk, dit elle en rigolant.
Doucement elle se dirigea vers l’entrée de la grotte et leva les yeux vers le ciel gris. Son sourire s’effaça quelque peu et on pouvait lire dans son regard une certaine peur et inquiétude. Elle espérait que le temps ne viendrait pas tout gâcher...
…le temps semblait vouloir prédire la catastrophe qui allait se produire. Ce matin-là, le vent déferla sur tout le royaume. Le ciel avait été assombri par de gros nuages noirs moutonneux et la pluie ne tarderait pas à tomber. Mais ce mauvais temps était presque une habitude pour les habitants du royaume. Le soleil y brillait que très rarement.
Les enfants du royaume ne connaissaient pas les douces journées chaudes où les oiseaux des bois gazouillaient jusqu’au coucher du soleil, où l’on pouvait jouer à cache-cache dans les bois respirant la bonne odeur des fleurs ou les myrtilles sur les buissons, ou encore ces belles journées de printemps où le soleil baignait sur toute la vallée. Non, le plaisir de s’élancer et courir à travers les champs de marguerites et sentir cette bouffée d’air frais vous fouetter le visage et vous chatouiller les oreilles, n’existait plus.
Heureusement, le temps s’améliora vers midi. Certes le soleil ne brillait pas comme avant mais c’était mieux que rien.
Helinia pensait qu’au moins la pluie ne tacherait pas la robe de sa mère. Rien ne pouvait être plus pire. Oh mais à quel point elle avait tort…-Bah au moins s’il ne pleut pas, on pourra dire que c’était une très belle journée, dit Jaïk.
-Ça fait longtemps que le soleil ne brille plus ici, répondit Helinia.
-Je n’ai pas vu le soleil le jour de ma naissance, dit Anaya. Ceniza avait déjà pris le pouvoir. C’était comment avant ?
-Eh bien, c’était plutôt sympathique. Mais je n’avais que six ans. Ça fait longtemps.
-Je n’en sais rien non plus, je n’avais que trois ans, dit Jaïk. Je me souviens seulement que c’était amusant de jouer à planter toutes les graines qu’on trouvait avec Amande…quoi que elle sentait bon la vanille…marmotta-t-il.
Helinia et Anaya se retournèrent et demandèrent en chœur : « Qui est Amande ? ». De toute évidence Jaïk en avait soudainement trop révélé sur lui et décida de changer de sujet.
-Tu veux de l’aide avec ta robe Anya ? Tu veux que j’ailler chercher Eloïselle ou Sofia ? Elles finiront certainement plus vite de raccommoder ta robe.
-Non, non, ça va…
Anaya releva disgracieusement sa robe au dessus de ses genoux et raccommoda grossièrement et rapidement ses dentelles. Elle fronça les sourcils. Vingt ans déjà qu’ils se connaissaient, et pourtant Anaya savait seulement que Jaïk aimait bizarrement les haricots verts, les amandes et la vanille. Un voile mystérieux enveloppait Jaïk, et il semblait que personne ne découvrirait jamais son secret, même pas Anaya.
Helinia se releva et inspecta son reflet dans le miroir.
-Comment me trouvez-vous ? demanda-t-elle.
-Sublime, répondit Jaïk. Bon je vais voir si Frayne est arrivé !
Et il courut dehors, un sourire coquin aux lèvres. Anaya sourit aussi. Oui, Jaïk avait raison.
-On y va ? dit-elle.
Helinia suivit Anaya. Dehors Anaya étira ses bras tel un oiseau prêt à prendre son envol. Une brise légère, mais néanmoins glaciale lui caressa le visage et envoya un frisson courir le long de son échine. Helinia essaya de se réchauffer en se frottant les mains.
-Tu devrais peut-être prendre un manteau Anya. Tu risques de tom…
Anaya n’entendit pas la suite. Sa sœur fut acclamée par toute la foule de rebelles, réunis dans la vallée pour le mariage. Helinia sourit, mais elle semblait nerveuse et embarrassée. Elle ne voulait après tout qu’un mariage simple et en famille et amis. Sauf qu’elle avait peut-être trop d’amis. Elle scruta la foule. Il y avait quelque chose de bizarre, quelque chose manquait certainement à la fête. Elle plissa les yeux. Non tout était là. Les chaises et les tables. Dans la marmite bouillonnait une bonne soupe pour le déjeuner, et un poulet rôtissait lentement. Les jolies roses rouges et blanches étaient présentent aussi. Sauf peut-être quelque chose. Mais ou diable était donc Frayne ?
Un peu plus loin, dans le village…Frayne courait à perde haleine dans les rues. Il n’arrivait pas à y croire. Il ne s’était même pas réveiller tôt pour son mariage, il n’y avait plus d’eau chaude, ses cheveux étaient encore mouillés, et il allait certainement attraper une grippe. Il ne manquerait plus qu’il glisse sur une rose et tombe pendant qu’il passerait la bague au doigt de Helinia.
Frayne s’arrêta un moment pour souffler. Après tout, il n’avait qu’une bonne dizaine de minutes de retard, et n’était même pas encore habillé ni même coiffé. Pas de quoi en faire un drame.
« Mais qu’est-ce que je raconte ! » pensa Frayne, avant de continuer sa course. Oh si seulement…si seulement il avait un cheval. Non, un cheval n’arriverait pas à circuler dans ces ruelles aussi étroites et bondées de gens, marchands de fruits et poisson, et petits garçons voleurs de pommes.
Et pour ajouter à son malheur, il trébucha, tomba, et glissa sur le sol boueux à plat ventre. Il fut parcouru d’une douleur incroyable. Sa vision s’estompait et tout autour de lui était noir. Il avait dû se prendre un coup sur la tête. Grimaçant de douleur, il cligna les yeux et sa vue lui revint graduellement.
Mais il y avait un problème. Il ne savait plus où il se trouvait. Il y avait du brouillard. La brume épaisse l’empêchait de voir quoi que ce soit. Il n’osait pas avancer de peur que ce soit un piège. Il ne pouvait pas non plus rester là sans rien faire… que faire ?
-Tu ne peux pas échapper à ton destin. Tu ne peux pas changer ce qui a été écrit.
Frayne sursauta. D’où venait cette voix aussi froide, remplie d’amertume et d’ironie ? Qui était là ?
Frayne se retourna en entendant des clochettes tinter. Une vieille femme s’approchait de lui, une lampe à la main, la lumière perçant le brouillard à chaque pas. Dès qu’elle arriva à quelques pas de lui, elle s’arrêta et tendit sa main libre. Une boule se forma peu à peu dans sa main.
-Regarde mon garçon, regarde. C’est peut-être la dernière fois que tu la vois…
Elle éclata de rire. Ce que Frayne vit l’horrifia.
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Voilà…merci si vous avez eut le courage de lire tout !
Sinon, je n’ai pas vraiment encore pensé sur la façon dont les différents personnages parlent et tout. En gros ça donnerait ça pour les persos :
Anaya -> je sais pas trop pour elle…j’aime pas trop l’héroïne XD …donc j’ai pas trop essayer de travailler sur elle.
Elle n’est pas super, et le seul fait d’aller chercher le prince juste pour libérer sa soeur est égoïste : Si Ceniza s’empare du véritable héritier du royaume et le tue, rien ne pourra l’empêcher de prendre le pouvoir. Elle est trop impulsive, et ne réfléchit pas vraiment avant d’agir. Bon okay, elle est assez courageuse (mais encore…). Mais j’ai peur qu’elle soit trop ‘lourde’ par moment.
Elle me fait penser à Kathie, personnage d’une narration que j’ai écrit pour un lg. Fille totalement dérangé et rancunière qui jurent de se venger d’être abandonner par tous, et se met à vouloir tuer touts ses ‘amis’ un à un (j’étais assez fière de Kathie…j’avais réussis à flanquer la frousse à 2-3 ^^).
Mon cousin dit que c’est moi tout craché…et beurk…elle me semble pathétique. Je ne trouve toujours pas un nom pour elle. Changer son nom pourrait changer totalement qui elle est.
Jaïk - > Jaccckkk…j’adore écrire sur lui. Mais j’ai changé le nom pour que ce ne soit pas aussi commun. Je pensais en faire un personnage très mélancolique, mais je n’étais pas trop sur. Et par hasard j’étudie Shakespeare cette année et en voyant Jacques dans une pièce, qui est un des persos les plus mélancolique, je pense rester sur l’idée. Mais c’est par coïncidence hein.
Mais le prob c’est que je l’ai transformé involontairement en Roméo T.T
A ce rythme on va me dire que j’ai copié sur Shakespeare !
Et euhh…pas envie de développer encore plus là… ^^’